Logement

mercredi 5 mars 2014

En pointant le sentiment d'abandon qu'expriment de nombreux habitants dans certains quartiers de Compiègne, la presse locale fait son travail et a raison. Depuis de nombreuses années, aux côtés des Compiégnoises et des Compiégnois, nous dialoguons pour construire le projet pour une autre voie pour Compiègne. La campagne municipale permet de mettre un peu plus dans la lumière les très nombreuses attentes des citoyens. Elles sont logiques et de bon sens. Embellissons, renforçons les liens entre les habitants, favorisons la tranquillité publique, encourageons le commerce de proximité, valorisons les talents des habitants et la vitalité associative. 

Richard VALENTE,
Compiègne gagnante

mardi 26 février 2008

Selon la Fondation Abbé Pierre, la situation du logement est dramatique. Le parc privé est de plus en plus cher (pour une famille qui gagne 1,5 SMIC, le loyer peut mobiliser 50 % des revenus). Les nouvelles constructions ne sont accessibles qu'à une minorité : 75 % des logements construits sur la dernière période sont destinés à 30 % des familles les plus aisées. Sous prétexte de mixité, on réduit la proportion de logements sociaux dans les villes ou l'on construit des logements intermédiaires inaccessibles au plus grand nombre.
A Compiègne, la même logique d'exclusion des classes moyennes et des classes populaires est à l'oeuvre. La proportion de logements accessibles à tous ne cesse de diminuer.
On construit toujours plus de logements privés que de logements à loyers modérés.
Les opérations de rénovation/reconstruction actuellement en cours au Clos des Roses, ainsi que l'aménagement des terrains militaires du 51ème RT, produiront le même effet que celui dénoncé par la Fondation Abbé Pierre.
"La France qui se lève tôt" doit pouvoir se loger à Compiègne.

mercredi 31 octobre 2007

Le logement est une thématique cruciale pour la vie quotidienne des habitants d'une municipalité. Quelle est donc la voie juste d'une société apaisée où se côtoie avec respect, convivialité, et solidarité une population variée ?
Je suis convaincu que seule la mixité sociale facilite cet idéal du possible dans une ville moderne. A ce titre, il est absolument dangereux d'accroître une quelconque ghettoïsation au sein de la municipalité.

Richard VALENTE,
Changer d'ère à Compiègne