Economie
- Budget 2020 électoraliste et sans audace !
- Ce que le bilan financier 2019 de la ville ne dit pas ... ?
- Débat d'orientation budgétaire à Compiègne : En 2019, l'équipe Marini se réveille, mais un peu tard
- A Compiègne, l'équipe de Philippe Marini vote un budget 2018 triste, et ... inquiétant
- 2018 : un projet bien triste proposé aux habitants de Compiègne !
- Le budget de Compiègne 2016 : hausse des impôts, baisse des subventions aux associations et baisse des investissements d'avenir
- Les comptes de Compiègne : la fragilité de l'autofinancement est pointée du doigt
- Budget 2015 à Compiègne : charges de fonctionnement en hausse, subventions aux associations en forte baisse, impôts en forte hausse !
- Bilan de la gestion de la ville par Philippe Marini en 2014 : 900 000 euros pour des boxes de chevaux et endettement
- Compiègne mérite une bonne gestion
- 900 000 euros pour les chevaux à Compiègne : qui dit "pire" ?
- Le magazine Capital pose la question "Votre maire mérite-t-il d'être réélu ?" Pour Compiègne, c'est NON avec la note décernée : "FRAGILE".
- L'emploi et l'économie au coeur de nos priorités
- Continental : une fin digeste ?
Budget 2020 électoraliste et sans audace !
Samedi 7 mars 2020
Le vote du budget est un moment important pour les élus que nous sommes. Il s’agit du dernier budget principal voté pour cette mandature.
Je voudrais profiter de cet instant pour exprimer tout l’honneur que j’ai eu - et que nous avons eu - avec mes collègues Solange Dumay, Frédéric Pysson, et Dilvin Yuksel de défendre une certaine vision de Compiègne tout au long de cette mandature. Je pense à la ferveur que nous avons toujours eu pour espérer et construire une ville solidaire, une ville au fort dynamisme économique, une ville qui soutient fortement chaque quartier, une ville soucieuse de l’environnement et de sa tranquillité, une ville où la richesse culturelle est valorisée, une ville qui étoffe ses atouts touristiques, une ville où l’audace est exemplaire.
S’agissant du budget proposé pour l’année à venir. J’ai indiqué le mois dernier au cours du débat d’orientation budgétaire, qu’il s’agissait d’un budget électoraliste et sans audace. Je le confirme aujourd’hui.
Pour rappel, bien-sûr cette fois, les impôts n’augmenteront pas ou quasiment pas.
Bien sûr cette fois, les associations ne subiront pas de baisse de subventions. Durant 3 ans, elles ont subi une baisse de subvention avec tous les dégâts que cela peut faire tant on sait à quel point le rôle des associations est primordial dans une ville.
Pour ce qui est de l’endettement, l’amélioration prévue est la suite de nombreuses années fort problématiques. La capacité de désendettement était de 23 ans auparavant !
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
Ce que le bilan financier 2019 de la ville ne dit pas ... ?
Samedi 7 mars 2020
A l'occasion du vote des comptes administratifs de l'année 2019, il est intéressant de consulter les analyses effectuées par différents experts financiers extérieurs lorsqu'il s'agit de la gestion financière de la ville.
En effet, à entendre les propos de Philippe Marini et son équipe municipale, chaque année tout va toujours bien !
Ce n'est décidément pas le même avis de la part des experts de l'IFRAP (Institut pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques).
Lorsque l'IFRAP note les 50 villes françaises à taille comparable (41 490 à 49 940 habitants), Philipe Marini et son équipe se classent en 48ème !!
Pour l'IFRAP et ses récentes études concernant 2018, l'endettement est très élevé, les taux d'impôts fonciers supérieurs à la moyenne nationale (26% contre 21% au national), et Compiègne souffre d'un sous-investissement chronique ! Cette situation empêche les Compiégnois de bénéficier des structures et infrastructures qu'ils pourraient espérer.
La gestion financière décriée par l'IFRAP est considérée comme tout aussi médiocre par les Contribuables associés qui donnent un 09/20 à notre ville pour sa gestion financière entre 2014 et 2020.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
Débat d'orientation budgétaire à Compiègne :
En 2019, l'équipe Marini se réveille, mais un peu tard
Samedi 16 février 2019
Le budget de Compiègne en 2019 sera un budget classique de fin de mandat puisque les impôts locaux ne devraient pas augmenter ! C’était bien le moins que l’on puisse attendre après les promesses de campagne en 2014 non tenues en début de mandat ...
Les associations ne subiront pas cette fois de baisse de subvention, mais elles ont dû subir des baisses injustes précédemment.
S’agissant des investissements, ils laissent perplexes quand on observe que certaines dépenses prévues en 2018 n’ont pas été effectuées (cf. Reports pour les quartiers Vivier Corax ou la Victoire par exemple.)
La vie des quartiers hors centre-bourg doit s’améliorer en urgence. Et si le centre ville doit être redynamisé après le cuisant échec des travaux de la place du marché aux herbes, cela ne doit pas se faire au détriment des autres quartiers de Compiègne.
Il faut d’ailleurs veiller à ce que la vie des habitants qui ne sont pas concernés par ces travaux s’améliore aussi notamment par le biais d’une politique de prévention de la délinquance ambitieuse, et le renforcement des approches culturelles et sociales permettant le mieux vivre ensemble.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
A Compiègne, l'équipe de Philippe Marini vote un budget 2018 triste, et ... inquiétant
Samedi 24 mars 2018
Lors du dernier débat d’orientation budgétaire, notre groupe « Compiègne gagnante » a évoqué la tristesse du projet présenté aux Compiégnois par Philippe Marini et son équipe.
Avec le vote du budget, nous pouvons aujourd’hui ajouter que ce budget est inquiétant lorsqu’il s’agit de la mise à l’honneur du bien-vivre et de la solidarité dans notre cité.
Les projets sont à la baisse, et les impôts vont augmenter !
Le cadre de vie doit être amélioré dans beaucoup de quartiers et il ne faudrait pas laisser imaginer que la vidéosurveillance peut remplacer l’impérieuse nécessité de ces travaux. La vidéosurveillance est utile mais ne fait pas tout ! (On note en effet 300 000 euros budgétés pour la vidéosurveillance et 200 000 euros pour le quartier de l’Echarde.)
Les efforts pour une meilleure gestion de l’endettement de Compiègne sont à apprécier après les longues années problématiques dénoncées par la Cour Régionale des Comptes.
Le budget est impacté de façon importante par la diminution drastique des contrats aidés. Cette situation doit inviter la ville à réfléchir sur sa mobilisation dans le soutien des citoyens compiégnois les plus fragiles. A titre d’exemple, nous pourrions fort bien embaucher de façon plus systématique des apprentis.
Enfin, la présentation du budget 2018 est particulièrement inquiétante quand on analyse le tableau « magique » présenté en conseil municipal pour tenter d’occulter les 14% de baisse de subvention aux associations compiégnoises en 4 ans !! (L’équipe de Philippe Marini a osé présenter les autres subventions octroyées par d’autres financeurs pour laisser croire que tout allait bien dans le monde associatif compiégnois ...)
Le cynisme n’est jamais bon conseiller ... Et il ne peut pas être admissible que les associations de notre cité - si utiles dans leur action quotidienne - soient oubliées ainsi. Les associations ont un rôle essentiel pour le dynamisme de notre ville. Elles favorisent la solidarité dans tous nos quartiers. Et notre belle cité doit encourager quotidiennement cet état d’esprit.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
2018 : un projet bien triste proposé aux habitants de Compiègne !
Samedi 17 février 2018
La ville a débattu ce vendredi 16 février sur les orientations budgétaires 2018 de Compiègne. C’est un projet bien triste qui sera proposé aux habitants avec moins d’investissement (en incluant y compris des reports de projets) et plus d’impôts !
La hausse des impôts régulière à Compiègne n’était pourtant pas au programme du candidat Marini en 2014 !!
Certains choix - quant à eux - laissent perplexes. Ainsi, on observera que tandis que 350 000 euros seront consacrés à la vidéosurveillance, seulement 200 000 euros seront prévus pour le quartier de Vivier Corax et 200 000 euros pour le quartier de l’Écharde. Il faut dire que Philippe Marini et son équipe nous avaient habitués à des choix très particuliers ... On se souvient par exemple des 900 000 euros ayant été budgétés en début de mandat pour les boxes de chevaux de notre cité.
L'amélioration du cadre de vie de nos quartiers est indispensable. Il est d’ailleurs nécessaire de ne pas oublier non plus le quartier de la Victoire à l’avenir.
De nouveaux projets viennent indiquer que Philippe Marini et son équipe reconnaissent enfin que les pistes cyclables à Compiègne ont été réalisées en dépit du bon sens. Nous espérons que ces projets en cours seront bénéfiques.
S’agissant de l’endettement de notre ville, nous devons apprécier les efforts entrepris, même si force est de constater que nous revenons de très loin. La Cour régionale des comptes avait été très critique sur ce point aux cours des années précédentes.
Cette nouvelle probité serait encore plus positive si l’on n’observait pas les nouvelles recettes dûes aux nouvelles politiques de stationnement à Compiègne et sur le plan national ... Les contribuables regretteront sans doute cette évolution avec logique.
Pour conclure, il est évident que les politiques nationales ont aussi des impacts très concrets sur les choix budgétaires locaux ... La baisse drastique des contrats aidés a des répercussions inquiétantes dans le budget compiégnois 2018.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
Le budget de Compiègne 2016 : hausse des impôts, baisse des subventions aux associations et baisse des investissements d'avenir
Samedi 2 avril 2016
Si nous devions résumer le budget municipal 2016 de l'équipe municipale compiégnoise actuelle, nous pourrions évoquer 4 points marquants :
- la baisse des subventions aux associations
- la baisse de l'investissement
- la diminution de la dette
- et la hausse des impôts locaux.
Personne ne se plaindra de la baisse de la dette programmée, car le problème était réel, et il fallait changer de cap.
On regrettera du coup la baisse de l'investissement qui réduit par conséquent les projets d'avenir. L'on passe d'une période où l'on s'est trop endetté à une période où l'on n'investira pas assez.
On notera la hausse des impôts programmée. Et on ne peut s'empêcher de considérer qu'il aurait été honnête d'annoncer ces hausses au moment de la présentation du programme municipal de Philippe Marini et son équipe en 2014, car ces hausses d'impôt deviennent une habitude ...
Pour l'équipe municipale, baisser les subventions aux associations, c'est "optimiser les subventions aux associations." Les Compiégnois apprécieront ...
Je voudrais insister sur le message difficile que vous transmettez aux centaines de bénévoles associatifs qui jouent un rôle considérable pour la cohésion de la cité. 2 années consécutives de baisse de subvention. C'est beaucoup trop.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
Les comptes de Compiègne : la fragilité de l'autofinancement est pointée du doigt
Samedi 2 avril 2016
Quand Philippe Marini baisse les subventions aux associations, il les "optimise".
Et quand la Chambre régionale des comptes pointe du doigt la faiblesse de l'autofinancement à Compiègne, Philippe Marini indique qu'il faut "analyser cet élément sur une période courte mais bien l'inscrire dans une gestion pluriannuelle." (cf. interventions du Conseil Municipal du 1er avril 2016.)
Le "baratin" serait-il la nouvelle règle de l'équipe municipale ?
Nous dénonçons la faiblesse de l'autofinancement à Compiègne depuis de nombreuses années.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Conseiller communautaire
Groupe Compiègne Gagnante
Budget 2015 à Compiègne : charges de fonctionnement en hausse, subventions aux associations en forte baisse, impôts en forte hausse !
Samedi 4 avril 2015
Je voudrais faire porter l’attention sur plusieurs nouvelles marquantes dans le budget primitif 2015 de la Ville de Compiègne :
- Les charges de fonctionnement de la ville augmentent.
- Les subventions aux associations baissent drastiquement. 10% : c’est très important.
- L’aide accordée au Centre Communal d’Action sociale baisse de 115 000 euros.
- Les impôts locaux augmentent, et d’une manière que les Compiégnois n’apprécieront pas beaucoup.
Nous pouvons être choqués par le signal donné au monde associatif, aux centaines de bénévoles qui s’investissent chaque jour pour la vitalité de la ville. Comment peut-on oublier, le rôle majeur de nos associations dans le bien vivre ensemble à Compiègne ? L'équipe de Philippe Marini ne prend-t-elle pas le risque de dévitaliser la ville, d’amoindrir la cohésion des Compiégnois ?
S’agissant de l’aide accordée au Centre Communal d’Action sociale. Le symbole est fort. Il me paraît essentiel, que nos Compiégnois les plus fragiles aient la garantie d’un soutien important.
Les impôts augmenteront en 2015, et j’espère que les Compiégnois ont oublié les promesses de campagne de Philippe Marini et son équipe !
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NB : L'équipe de Philippe Marini nous a reproché lors du conseil municipal du 3 avril notre attachement à des dispositifs comme l'emploi d'avenir.
Le paradoxe dans les discours de Philippe Marini et son équipe est réel ! On ne peut pas effectivement reprocher à l'Etat de baisser ses dotations, et en même temps ne pas utiliser les aides de l'Etat existantes. Combien d'Emplois d'avenir (dispositif fortement soutenu par l'Etat) ont été signé par le Maire de Compiègne ? La réponse nous est enfin parvenue : 4 par an en 3 ans !! Quel triste message pour la jeunesse compiégnoise !!
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Groupe Compiègne Gagnante
Bilan de la gestion de la ville par Philippe Marini en 2014 : 900 000 euros pour des boxes de chevaux et endettement
Samedi 4 avril 2015
Nous avons analysé ce 3 avril dernier les comptes administratifs de la ville en 2014. C’est l’occasion bien sûr d’évoquer ce terrible choix qui marquera sans doute les mandats de Philippe Marini : les désarçonnant 900 000 euros pour la construction de boxes de chevaux du Centre régional Equestre de Compiègne. Bien-sûr, l'équipe de Philippe Marini nous reprochera de l’avoir dénoncé déjà à plusieurs reprises. Mais je crois que dans notre cité, nous devons avoir un devoir de mémoire.
Nous ne pouvons pas prôner la bonne gestion, accuser l’Etat de ne plus nous soutenir suffisamment, et en même temps, nous lancer dans des projets que les Compiégnois ne comprennent pas. Je vais me permettre de vous raconter une anecdote particulière. Lorsque je suis allé saluer chaque Compiégnoise et chaque Compiégnois, lors du repas de fête de fin d’année proposé par le Centre Communal d’Action Sociale, quelques temps avant, étaient parues dans la presse mes observations sur ce terrible choix équestre. Lors de presque chaque conversation, les Compiégnois m’ont fait remarquer que j’avais eu raison de dénoncer ce choix. Et on continue de me relayer cet avis. Je crois que, que ce n’est ni de la facilité, ni de la démagogie que de penser que nos choix budgétaires doivent être raisonnables.
Nos choix budgétaires doivent être aussi sérieux, et nous avons regretté les résultats de la gestion au cours des dernières années s’agissant de l’endettement. Cette fois, Monsieur Marsigny dira à nouveau que nos mises en garde sont fantaisistes en occultant les analyses faites par la Cour régionale des Comptes, le journal économique Capital, ou encore Les Echos. Il est clairement temps que nos résultats financiers soient à la hauteur. Le désendettement de la ville doit être réel et sur la durée, au risque de faire peser sur nos concitoyens les résultats d’une gestion hasardeuse.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Groupe Compiègne Gagnante
Compiègne mérite une bonne gestion
Samedi 21 février 2015
Au cours du débat d'orientation budgétaire du 20 février 2015, à en croire le descriptif de la situation financière dépeinte par Philippe Marini, à Compiègne, tout irait bien, et l’on pourrait dormir sur ses deux oreilles …
Il ne serait pas objectif de se contenter d’un tel descriptif car l’on sait que le bilan des dernières années a souvent été catastrophique lorsqu’il s’agit de la bonne gestion de notre ville.
Il y a quelques temps, la note de 0/20 avait été accordée à l’équipe municipale de Philippe Marini par le journal économique "Les Echos" pour la gestion financière de la ville de Compiègne. Et ensuite, le magazine "Capital" avait encore confirmé avec objectivité la fragilité de la gestion financière de notre cité.
En 5 ans entre 2007 et 2012 :
- L’évolution de l'endettement a été de + 58%,
- L’évolution du délai de désendettement a été de + 14%, (9.8 années soit beaucoup + que dans les villes du territoire où la tendance est à la nette baisse avec -12,5%)
- Les dépenses de fonctionnement ont augmenté de 20%,
- La taxe d'habitation par habitant a augmenté de 50,8% (353 euros),
- La taxe du foncier bâti par habitant a augmenté de 22,6% (326 euros).
[*Sources Capital Mars 2014.]
Il ne s’agit pas aujourd’hui de tout mettre sur le dos du "grand méchant Etat". La situation est difficile, et l’équipe de Philippe Marini a sa part de responsabilité de façon indéniable.
Compiègne mérite une gestion sérieuse.
Compiègne mérite aussi des choix audacieux et raisonnables. Nous avons été choqués du choix de financer des boxes de chevaux pour 900 000 euros. Demain, nous serons forcément choqués de voir des choix budgétaires qui ne privilégient pas l’essentiel pour faciliter la vie quotidienne des Compiégnois.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Groupe Compiègne Gagnante
900 000 euros pour les chevaux à Compiègne : qui dit "pire" ?
Samedi 13 décembre 2014
La Ville dépensera bientôt 900 000 euros pour nos chevaux compiégnois. (cf. rénovation des boxes équins du stade équestre du Grand Parc)
Nous croyons rêver. C'est pourtant la réalité.
N'y-a-t-il pas des dépenses plus souhaitables durant cette période de crise ? Les projets utiles à l'échelle de la Ville ne manquent pourtant pas. Nous déplorons que l'équipe du Sénateur-Maire préfère de tels projets ... La jeunesse, le dynamisme économique, les actions éducatives et culturelles, le bien-vivre au quotidien sont par exemple des enjeux essentiels qui méritent un réel soutien.
Richard VALENTE,
Conseiller municipal
Groupe Compiègne Gagnante
Le magazine Capital pose la question "Votre maire mérite-t-il d'être réélu ?" Pour Compiègne, c'est NON avec la note décernée : "FRAGILE".
Vendredi 21 mars 20014
Après la note de 0/20 accordée par le journal économique "Les Echos" à l'équipe sortante et Philippe Marini pour la gestion financière de la ville de Compiègne, le magazine "Capital" confirme avec objectivité également la fragilité de la gestion financière de notre cité.
Le magazine pose la question"Votre maire mérite-t-il d'être réélu ?".
La notation "FRAGILE" décernée entraîne une seule réponse ... C'est NON.
En 5 ans entre 2007 et 2012 :
- Evolution de l'endettement de + 58%,
- Evolution du délai de désendettement de + 14%, (9.8 années soit beaucoup + que dans les villes du territoire où la tendance est à la nette baisse avec -12,5%)
- Dépenses de fonctionnement de + 20%,
- Taxe d'habitation par habitant de + 50,8% (353 euros),
- Taux de taxe d'habitation de 22,8% en 2012
- Taxe du foncier bâti par habitant de + 22,6% (326 euros)
- Taux du foncier bâti en 2012 de 24,4% en 2012.
Compiègne mérite une gestion sérieuse.
Richard VALENTE
L'emploi et l'économie au coeur de nos priorités
Mars 2014
Notre ville doit soutenir l’emploi. Cette priorité passe par le recrutement d’emplois d’avenir, mais aussi par la mise en place d’actions facilitant l’attractivité de la ville et du centre ville.
Parmi les projets que nous voulons :
- Soutenir la création d’entreprises et faciliterons l’accès à l’information des dispositifs d’appui.
- Rendre au centre ville de Compiègne son attractivité, y compris en multipliant les zones bleues, et facilitant le stationnement pour qu’il soit plus simple de se garer.
- Réaménager le quartier de la gare pour en faire un quartier intégré au centre ville. Cette opération s’effectuera avec l’appui du Conseil Régional de Picardie. Développer un nouvel axe dynamique Pôle Gare - Cours Guynemer - Ex Ecole militaire - Théâtre Impérial - Palais - Forêt.
- Renforcer la dynamique de partenariats avec les pôles technologiques de l’Université, en associant pleinement les étudiants et enseignants dans l’action municipale.
- Valoriser les atouts touristiques de la ville en requalifiant les rives de l’Oise (tourisme fluvial), en créant un camping sur le Camp des Sablons. Nous créerons un pôle touristique et culturel autour du château (théâtre, musique, musée de la Voiture)
- Proposer un plan de rénovation thermique sur les bâtiments de la ville en associant les entreprises locales.
Continental : une fin digeste ?
Dimanche 15 mars 2009
C'est incontestable, la fin programmée de Continental à Clairoix est une surprise indigeste.
Nicolas Sarkozy face à la crise ira-t-il jusqu'à imaginer la fin du "Travailler plus, pour gagner plus" ?? Ce slogan de campagne invite aujourd'hui à plus de réalisme, et l'abandon des slogans populistes et incertains économiquement.
Soutenons les salariés de Continental, et imaginons dès maintenant une nouvelle adaptation du monde professionnel face aux aléas cruels du capitalisme qui n'est plus sauvage, mais barbare et non loin d'être inhumain.
Une société moderne doit s'évertuer à s'adapter de façon humaniste aux évolutions du monde. Et cela ne veut pas dire que le dynamisme économique n'y a pas sa place. Investissons dans la recherche avec force et ampleur. Formons et qualifions la jeunesse et les salariés tout au long de la vie. Privilégions un modèle économique, culturel et social progressiste.
Chacun a son rôle pour répondre à ces enjeux. Il est en tout cas du devoir de notre Présidence de la République et du Gouvernement de proposer des réformes d'ampleur justes et équitables.
Richard VALENTE,
Changer d'ère à Compiègne