Tribunes 2014/2015
- Tribune - Mai - Juin 2015 / Cinéma de centre ville : chronique d'une mort annoncée
- Tribune - Avril 2015 / Compiègne : un budget à bout de souffle
- Communiqué - élections départementales 2015
- Tribune - Février-Mars 2015 / Tolérance, respect de l’autre et laïcité
- Tribune - Janvier 2015 / Bonne année 2015 !
- Tribune - Décembre 2014 / Une cité avec et pour tous !
- Tribune - Novembre 2014 / SANOFI Compiègne : quel diagnostic pour quelle posologie?
- Tribune - Octobre 2014 / Remettre l'ouvrage sur le métier
- Tribune - Septembre 2014 / Bonne rentrée citoyenne !
Tribune - Mai - Juin 2015 / Cinéma de centre ville : chronique d'une mort annoncée
Maintenir un cinéma au centre ville, 15 ans qu’on en parle sur Compiègne !
Dès l’annonce de la création d’un multiplex en 2001, les élus de gauche ont plaidé pour son installation en ville puis se sont battus pour la survie de salles au centre ville.
2002-2011 : 4 salles de cinéma sous perfusion
Un accord est signé avec la propriétaire des Dianes pour maintenir 4 salles avec l’aide financière de la ville par le biais du festival du film de Compiègne. On assiste alors à une belle embellie mais très vite se pose, pour la propriétaire, un problème de rentabilité et une opération immobilière se profile. Le cinéma ferme ses portes fin 2011.
Qui va enfin pouvoir débloquer la situation ? C’est la question récurrente que se posent les compiégnois et l’association Sauvons les Dianes qui, forte de ses 180 adhérents et des 2500 pétitionnaires, a su faire pression sur la Municipalité pour trouver une solution. Le suspense aura duré 4 ans.
2013-2014 : plus que 2 salles mais un beau projet culturel et de lien social
Un protocole d’accord est signé entre la Ville, le Majestic et l’acquéreur des Dianes. La Ville a pour projet de louer au promoteur 2 salles et de les exploiter en régie directe. Des démarches pour obtenir des subventions (au CNL, à la Région…) ont été entreprises. Nous jugions le projet prometteur. Mais sans cesse les dates reculaient et le projet devenait peau de chagrin !
2015 : Juste une salle de cinéma et la municipalité jette l’éponge
Désormais, il est question de ne garder qu’une salle obscure. La Ville a reculé devant les coûts et semble se désengager du projet ; le promoteur de l’espace Saint-Jacques, en aurait repris les rênes.
Tout cela est bien regrettable et décevant. La Municipalité nous mène en bateau, d'espoirs en déconvenues. Elle a fait une croix sur l’idée d’un cinéma de centre ville tout doucement comme pour mieux faire passer la pilule. On se moque des personnes âgées, des gens sans moyens de transport. On prive les scolaires d'un cinéma de proximité et les associations d’un outil pour dynamiser ici des festivals, là un ciné-club… On se moque de l'animation du centre ville.
La Ville ne fera pas son cinéma mais compiégnois, souriez, vous êtes filmés ! Mais c’est une autre histoire…
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Avril 2015 / Compiègne : un budget à bout de souffle
Au cours du dernier débat d'orientation budgétaire, à en croire le descriptif de la situation financière dépeinte par Philippe Marini, à Compiègne, tout irait bien avec ou sans cagnotte sénatoriale !
Pourtant, le bilan des dernières années a souvent été catastrophique.
En 5 ans entre 2007 et 2012 :
- L’évolution de l'endettement a été de + 58%,
- L’évolution du délai de désendettement a été de + 14%, (9.8 années)
- Les dépenses de fonctionnement ont augmenté de 20%,
- La taxe d'habitation par habitant a augmenté de 50,8%,
- La taxe du foncier bâti par habitant a augmenté de 22,6%.
[*Sources : magazine Capital; Le journal économique « les Echos » avait attribué la note 0/20 à Compiègne pour sa gestion financière.]
Si l’on poursuit l’analyse récente, les résultats effraient encore …
- En 2013, l’endettement par habitant est de + 20% par rapport aux communes de taille équivalente (cf. strate)
- La capacité d’autofinancement net est de - 29 €/hab à Compiègne contre +75 €/hab pour la strate.
- La taxe d’habitation est de + 22%/hab en 2013 par rapport à la strate.
- La taxe foncière est de + 8%/hab en 2013 par rapport à la strate.
Il ne s’agit pas aujourd’hui de tout mettre sur le dos du "grand méchant Etat". La situation est difficile, et l’équipe de Philippe Marini a sa part de responsabilité de façon indéniable.
Compiègne mérite une gestion sérieuse.
Compiègne mérite aussi des choix audacieux et raisonnables.
La priorité doit clairement être accordée à l’éducation, au logement, aux quartiers, à l’emploi. (Il n’est pas trop tard pour que Compiègne soutiennent sa jeunesse via les emplois d’avenir !) Nous avons été choqués du choix de financer des boxes de chevaux pour 900 000 euros. Demain, nous serons aussi choqués de voir des choix budgétaires qui ne privilégient pas l’essentiel pour faciliter la vie quotidienne des Compiégnois.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Communiqué - élections départementales 2015
Le 1er tour des élections départementales vient d'avoir lieu. Les candidats du Parti Socialiste et la majorité départementale ont recueilli sur le canton de Compiègne 2 (Sud) 24.6% des voix, et sur le canton de Compiègne 1 (Nord) 14.4% des voix.
Nous remercions les électeurs nous ayant accordé leur confiance.
Ces résultats ne nous permettent pas d'être présents au second tour de ces élections.
Ces résultats nous invitent à rester fidèles aux valeurs républicaines.
Ils nous invitent aussi à choisir le refus du parti des extrêmes le 29 mars prochain.
Nous appelons les électeurs à se déplacer lors du second tour pour voter pour les candidats de la droite républicaine, et combattre les idées néfastes et les projets FN à l'échelle locale et nationale.
Richard VALENTE, Secrétaire PS Compiègne
Tribune - Février-Mars 2015 / Tolérance, respect de l’autre et laïcité
Choqués par les massacres perpétrés à Paris, de nombreux citoyens, de nombreux compiégnois ont tenu à se rassembler, à manifester, le cœur et la colère gros, pour défendre notre République, celle des Lumières, du Contrat Social, des droits de l’homme…
Défendons sans relâche cette République de l’audace, qu’il nous faut chaque jour réinventer contre la haine et la barbarie, contre toutes les injustices et les désespérances qui les nourrissent. N’ayons pas peur d’interroger les mots : égalité, quand les modes de vie sont inégaux, fraternité quand des gens sont exclus. Ouvrir des possibles par le langage : apprendre à parler de ce qui rapproche et ce qui différencie, s’approprier les mots en rencontrant des livres susceptibles d’aider à construire l’altérité, ne serait-ce pas là le rôle essentiel de l’école et de la culture ? Non, l’école ne peut pas tout mais elle doit transmettre les valeurs républicaines qui doivent demeurer au cœur du lien social. Dans ce rôle fondamental de l’Education, un pacte de confiance entre l’école et la famille est nécessaire certes ; mais les médias au sens large, les réseaux sociaux, la Ville dans sa politique urbanistique, sociale, scolaire, culturelle… ont tous un rôle à jouer.
La question fondamentale qui se pose est : « comment vivre ensemble en paix avec nos différences spirituelles ? » La seule réponse c’est l’idéal laïque. La laïcité, c’est comme une clé qui nous ouvre les portes vers la liberté (de conscience, de la presse…), l’égalité de toutes les options spirituelles et la neutralité de l’Etat en la matière, l’égalité de tous devant la Loi, la séparation de la sphère publique et de la sphère privée, la recherche de l’émancipation de l’individu et la formation du citoyen. « La laïcité est tolérante vis-à-vis des religions et correspond à un besoin de fraternité, de considérer l’autre de façon égale. L’ennemi de la laïcité, ce n’est pas le religieux, c’est l’effondrement social. Seule solution : l’altruisme, le désir d’aider l’autre qui existe dans la nature humaine » disait Bernard MARIS et nous retiendrons sa belle formulation « Inventer la fraternité anonyme, voilà le « rêve laïque ».
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Janvier 2015 / Bonne année 2015 !
Les vœux de nouvel an sont une belle tradition. Ils sont l’occasion de rêver d’une année faite de joies multiples.
Nous vous souhaitons ces belles perspectives, et pensons tout particulièrement à celles et ceux confrontés à des moments difficiles.
Et si 2015 rimait avec solidarité, succès, emploi, émotions culturelles, dialogue, et mieux vivre au quotidien ?
Pour l’année 2015, la majorité municipale aura peut-être l’envie de perpétuer de nouveaux réflexes positifs, et si c’est le cas, nous l’encouragerons.
A titre d’exemple, les derniers travaux de la patinoire laissent espérer une nouvelle approche soucieuse de l’environnement.
Lors du conseil de novembre, une véritable petite révolution était cachée sous les travaux de rénovation et mise aux normes de la patinoire. Car en réduisant la consommation de 12 millions de kilowatt-heures sur 20 ans, les travaux permettent d’obtenir des Certificats d’Economie d’Energie (Loi POPE) dont la vente rapportera directement plus de 38 000 € tandis qu’un million d’euros ne seront pas dépensés en énergie sur la période.
Or avec un budget « fluides » communal de l’ordre de 6 à 7 millions d’euros par an, on a à Compiègne, comme ailleurs, un véritable gisement d’économies et de recettes qui nous attend. Va-t-on étendre le programme ?
A une époque de rareté croissante de l’argent public, les ressources vont devoir être gagnées par les collectivités elles-mêmes. C’est sans doute un changement majeur dans la gestion des collectivités. Et d’un point de vue environnemental, on passe d’une écologie punitive faite de taxes à une écologie incitative, celle qui ménage des opportunités.
Saurons-nous saisir ces opportunités?
Nous le souhaitons ardemment car les Compiégnois apprécieraient sûrement cette nouvelle étape !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Décembre 2014 / Une cité avec et pour tous !
Les Compiégnois sont attachés à leur ville. Il n’est pas concevable de laisser à l’abandon des habitants en fragilisant la solidarité, et en ne permettant pas la mise en place d’outils qui favorisent la tranquillité et le mieux-vivre des Compiégnois.
Nous avons dénoncé à plusieurs reprises l'échec de la politique municipale dans les quartiers. La police de proximité et la médiation doivent être renforcées. Les dispositifs ne manquent pas : le service civique, les emplois d'avenir, la vitalité associative ...
Tous ces outils permettent à une ville de créer des quartiers où personne n'est oublié, tout en tenant compte des marges de manoeuvre financières existantes.
Les habitants souhaitent aussi quotidiennement être soutenus dans leurs projets.
L’équipe municipale s’est une nouvelle fois distinguée d’une étrange façon en proposant ce qui ressemble clairement à une mise sous tutelle du tissu associatif de nos quartiers. (La municipalité co-dirige le nouveau « Conseil de vie ».)
La ville doit impulser, accompagner, soutenir nos associations. Mais qu’elle coordonne, n’est pas une façon saine de concevoir la démocratie locale.
La Ville ne doit pas se substituer aux acteurs qui existent déjà, et dont le rôle est justement de soutenir les jeunes. S’agissant des champs de la formation et de la création d’entreprise, ne créons pas le trouble dans l’esprit des jeunes qui n’ont pas besoin de repères en moins, mais plutôt d’un accès lisible et facile aux services publics.
Faisons en sorte que les initiatives se prennent. Ne bridons pas notre jeunesse, nos associations et nos quartiers.
Ne municipalisons pas les associations de Compiègne, car il n’est pas raisonnable de concevoir que le monde associatif mérite des chaines. Nos associations méritent leur indépendance. Elles n’ont besoin que de deux choses : notre soutien, et nos encouragements.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Novembre 2014 / SANOFI Compiègne : quel diagnostic pour quelle posologie?
La branche pharmaceutique est la deuxième industrie française avec 300 000 salariés et 75 milliards de chiffre d’affaire. Dans un contexte toujours plus contraint entre innovation et mondialisation, l’affaire a fait grand bruit : Sanofi, son leader, envisagerait la cession de 200 médicaments « matures », impactant emplois et sites de productions, dont celui de Compiègne (500 personnes).
Un Phoenix de mauvais augure. La direction du groupe a beau s’en défendre, son conseil d’investissement a planché sur le projet « Phoenix », une réduction de l’empreinte industrielle en Europe et la cession d’un portefeuille dont la rentabilité décroît. Mais dont la transaction pourrait encore rapporter 6,3 milliards...
Bien lire la notice entre les lignes. Or, qu’il s’agisse d’une cession-accord avec un fabricant (joint-venture), ou pire, d’une vente à un fond de pension, les salariés des sites concernés connaitraient la révision à la baisse de leurs conditions de travail. Et à moyen terme c’est l’outil de production qui serait menacé : aspiration par délocalisation et asphyxie faute de nouvelles molécules, jusqu’ici fournies pas Sanofi lui-même.
Respecter la dose prescrite. Entre user et abuser, la frontière est ténue. La Sécurité Sociale a contribué à la prospérité de Sanofi via le remboursement de médicaments. En restructurant, les cotisations sociales diminuent. Cela n’a pas échappé au gouvernement qui a travaillé à un pictogramme traçant la fabrication pour la promotion d’un mieux-disant social et environnemental. Il est urgent d’activer la mesure pour soutenir l’industrie nationale!
Attention aux interactions. Les biotechnologies sont le relais annoncé d’une chimie déclinante. Des sites comme Vitry-sur-Seine sont reconvertis. Le succès réside dans la symbiose avec un environnement de recherche-développement-innovation. Or Compiègne accueil l’unique pôle-compétitivité de Picardie, dont c’est justement la vocation (avec les collectivités) de favoriser ces synergies. Un levier possible pour pérenniser l’activité. Et une contribution minimale des élus locaux sur ce dossier…
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Octobre 2014 / Remettre l'ouvrage sur le métier
En mai, la municipalité refusait d’appliquer la réforme des rythmes scolaires avec fracas pour des raisons politiciennes. En juillet, elle annonçait vouloir appliquer la réforme et c’est bien normal car ne pas le faire aurait été illégal. Dont acte !
Mais si le cadre est posé, pour les horaires notamment et pour l’organisation du mercredi matin en relais avec les centres aérés l’après-midi, force est de constater qu’il s’agit d’une application a minima, pour ne pas parler de coquille vide. Si l’arrivée de cette réforme avait été préparée avec pragmatisme, elle aurait été budgétée et surtout on aurait évité ce flou (qui n’était pas artistique, hélas !) qui a accompagné la rentrée des classes. Dans « le dispositif » proposé par la Ville, le maître mot est garderie. Et le changement est simplement un glissement d’horaires de l’existant ; moins gênant certes pour les écoles élémentaires qui voient l’accompagnement éducatif du soir glisser de 15h45 à 17h45 avec une possibilité de garderie municipale après ; mais qui est terrible pour des enfants de maternelle qui se voient offrir la possibilité de 2h3/4 de garderie « où l’enfant fait ce qu’il a envie de faire… (relevé dans le CNV de septembre » Il y a urgence à plancher sur une organisation positive de cette réforme en imbriquant la dimension éducative et culturelle. Et nos propositions, dans l’esprit de la loi, sont claires : bien distinguer les TAP (Temps d’Activités Périscolaires éducatives) prévu de 15h45 à 16h30 proposés à tous les enfants et dans la mesure du possible gratuits et les temps d’aide aux devoirs et de garderie qui peuvent suivre. Nous ne faisons que le répéter : Compiègne a les moyens avec les équipes éducatives des écoles, les réseaux culturels et sportifs, son tissu associatif de mettre en place un véritable Projet Educatif Territorial (PEDT). Bref, c’est de la belle ouvrage que nous demandons. Investir pour nos enfants, c’est juste une question de choix !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Septembre 2014 / Bonne rentrée citoyenne !
Le mois de septembre est souvent le moment de retrouver un rythme d’activité plus intense : le travail, l’école, les loisirs, les activités associatives …
Septembre est aussi régulièrement la période d’une implication citoyenne accrue !
La droite locale s’est souvent distinguée en ce début de nouveau mandat par sa division et la constance des caricatures faites pour décrier l’opposition municipale progressiste.
Nous pensons que c’est une erreur de vouloir dénigrer ceux qui ne veulent qu’enrichir les réflexions, et proposer une alternative pour le bien de Compiègne, ses habitants, ses enfants, ses associations, et les professionnels qui s’impliquent pour la ville.
La démocratie est précieuse. Et nous devons toujours favoriser de larges débats avec tous.
Savez-vous que notre groupe vous permet en toute simplicité de participer à la construction d’un projet pour tous les habitants de la ville qui permet de défendre une vision plus humaniste, solidaire, dynamique et écologique ?
Sur le forum internet www.Compiegne-Gagnante.net, vous avez la possibilité de débattre en faisant connaître vos idées, en partageant votre expérience. Le site fait peau neuve en cette rentrée.
Une ville, c'est aussi des habitants, des espoirs, et des formidables envies d'imaginer le possible pour le bien-être de tous ...
Citoyens, votre implication a toute sa place !
C’est pour nous aussi l’occasion de créer un espace plus réactif car il faut savoir que lorsque nous écrivons dans Compiègne Notre Ville, vous n’en avez connaissance qu’un mois après (2 mois en période de vacances pour cet article !)
Un des premiers sujets de débat à la rentrée sera celui de la mise en place des rythmes scolaires. Nous ferons des propositions pour que l’esprit de la loi soit respecté. Nous veillerons à ce qu’il n’y ait pas confusion entre le temps péri-éducatif (15h45-16h30) proposé à tous les enfants et dans la mesure du possible gratuit et le temps après l’école : aide aux devoirs pour l’école élémentaire et garderie…
Nous vous proposons donc d'imaginer et construire la ville de Compiègne autrement en facilitant la mise à l'honneur du dialogue, de l'expérience et des idées des uns et des autres.
Compiègne Gagnante, c'est le refus du conservatisme ambiant, et la ferme volonté de redorer le blason de notre municipalité grâce aux idées de bon sens, et la passion de l'ouverture, et de la modernité.
Rendez-vous donc très vite sur ce forum, mais aussi chaque jour à vos côtés durant les multiples occasions que nous avons de nous rencontrer.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes