Tribunes 2015/2016
- Tribune - Juin 2016 / Sécurité, familles, emploi, solidarité : L’Etat, c’est nous !
- Tribune - Mai 2016 / Pour un développement culturel et solidaire
- Tribune - Mars 2016 / Débat d’Orientation Budgétaire 2016 : Le choix de l’obligé
- Tribune - Février 2016 / Mobilisés pour l’emploi !
- Tribune - Janvier 2016 / Pour une belle année 2016 !
- Tribune - Décembre 2015 / Reconversion du site Continental : des citoyens en haut de la friche
- Attentats
- Tribune - Novembre 2015 / Solidarité pour les réfugiés
- Tribune - Octobre 2015 / Un automne citoyen
- Tribune - Septembre 2015 / Veni vidi Vinci ou les égarements du stationnement
Tribune - Juin 2016 / Sécurité, familles, emploi, solidarité : L’Etat, c’est nous !
En raison d’épisodes d’insécurité au Clos des Roses, la CAF (Allocations familiales) de Compiègne a été obligée de fermer ses portes pour trouver une nouvelle adresse. Si le quartier n’a plus de CAF, pour l’équipe municipale de Philippe Marini, c’est forcément à cause de l’Etat … Nous sommes habitués à ce type de discours depuis de nombreux mois déjà.
Pourtant, lorsqu’il y a l’opportunité d’accueillir la CAF dans le centre ville de Compiègne dans le nouveau quartier de l’ex Ecole d’Etat Major, Philippe Marini semble peu enclin à accepter favorablement cette perspective. Quel dommage pour nos familles compiégnoises !!! Tout le monde sait bien que les prestations de la CAF concernent tout le monde. On prive donc les Compiégnois de la possibilité d’un service de proximité en centre ville comme dans la plupart des communes de taille comparable.
La force de la proximité doit se retrouver partout dans la cité, et les derniers événements de nos quartiers ne doivent pas nous faire oublier que la sécurité doit être réelle pour toutes et tous. La responsabilité de la municipalité est grande lorsqu’il s’agit de créer des quartiers où l’humain est fortement présent par le biais des actions de sécurité, prévention et de lien social.
A l’échelle du groupe Compiègne gagnante, nous avons pris l’initiative de renforcer les liens de proximité dans nos quartiers par le biais de l’opération « Chemins gagnants ». Vous cherchez un emploi ? ou vous souhaitez raconter votre parcours pour donner envie à la jeunesse de nos quartiers de s’insérer durablement ? Envoyez votre CV ou témoignage sur notre plateforme internet http://Chemins-gagnants.net . Nous prendrons aussitôt contact avec vous pour vous appuyer dans vos projets et favoriser de nouvelles perspectives locales. N’hésitez-pas à nous contacter !!
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Pourtant, lorsqu’il y a l’opportunité d’accueillir la CAF dans le centre ville de Compiègne dans le nouveau quartier de l’ex Ecole d’Etat Major, Philippe Marini semble peu enclin à accepter favorablement cette perspective. Quel dommage pour nos familles compiégnoises !!! Tout le monde sait bien que les prestations de la CAF concernent tout le monde. On prive donc les Compiégnois de la possibilité d’un service de proximité en centre ville comme dans la plupart des communes de taille comparable.
La force de la proximité doit se retrouver partout dans la cité, et les derniers événements de nos quartiers ne doivent pas nous faire oublier que la sécurité doit être réelle pour toutes et tous. La responsabilité de la municipalité est grande lorsqu’il s’agit de créer des quartiers où l’humain est fortement présent par le biais des actions de sécurité, prévention et de lien social.
A l’échelle du groupe Compiègne gagnante, nous avons pris l’initiative de renforcer les liens de proximité dans nos quartiers par le biais de l’opération « Chemins gagnants ». Vous cherchez un emploi ? ou vous souhaitez raconter votre parcours pour donner envie à la jeunesse de nos quartiers de s’insérer durablement ? Envoyez votre CV ou témoignage sur notre plateforme internet http://Chemins-gagnants.net . Nous prendrons aussitôt contact avec vous pour vous appuyer dans vos projets et favoriser de nouvelles perspectives locales. N’hésitez-pas à nous contacter !!
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Mai 2016 / Pour un développement culturel et solidaire
Pour un développement culturel et solidaire
Dans ces temps difficiles, la culture contribue au développement des individus et à l’exercice des rapports sociaux (transmission des valeurs, cohésion sociale). Et pourtant, ce domaine fait souvent l’objet de restrictions budgétaires de nos collectivités (baisses drastiques du Conseil Départemental).
A Compiègne, les établissements culturels sont attractifs, la volonté politique est réelle. Nous nous réjouissons que soit programmée l’extension du Mémorial de l’Armistice et souhaitons que le projet d’installation du Musée de la Voiture dans les anciens Haras voit le jour. Nous regrettons que le dossier rénovation et extension du Musée Vivenel soit renvoyé aux calendes grecques.
La vie associative : un lien culturel et social
L’offre culturelle compiégnoise, qualitative et diversifiée, attire un large public mais des médiations sont nécessaires pour accompagner la partie de la population qui ne se sent pas concernée, voire exclue de ces propositions. Par ces relais, les associations préservent l’équilibre social.
Aussi, nous avons regretté, au dernier conseil municipal portant sur le budget de la ville, la baisse des subventions aux associations culturelles depuis 2 ans (- 10 puis - 5 %). Pourtant ces aides sont nécessaires pour démultiplier les effets et renforcer l’efficacité de certains dispositifs : Contrat Ville, plate forme de réussite éducative, CLEA (Contrat Local d’Education Artistique), TAP ( nouveaux rythmes scolaires) financés par l’Etat mais longtemps boudés par la municipalité. Nous ne nions pas les efforts faits en direction du monde associatif mais cela aurait du sens de les confirmer.
De nombreuses associations compiégnoises se sont mobilisées pour donner une dimension culturelle aux temps périscolaires. L’expérience des CLEA permet d’affirmer que les rencontres avec des artistes constituent un événement culturel dont chaque enfant devrait bénéficier au moins une fois dans sa scolarité pour ne jamais perdre le goût de la découverte et du dialogue.
« Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude » Albert CAMUS
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Dans ces temps difficiles, la culture contribue au développement des individus et à l’exercice des rapports sociaux (transmission des valeurs, cohésion sociale). Et pourtant, ce domaine fait souvent l’objet de restrictions budgétaires de nos collectivités (baisses drastiques du Conseil Départemental).
A Compiègne, les établissements culturels sont attractifs, la volonté politique est réelle. Nous nous réjouissons que soit programmée l’extension du Mémorial de l’Armistice et souhaitons que le projet d’installation du Musée de la Voiture dans les anciens Haras voit le jour. Nous regrettons que le dossier rénovation et extension du Musée Vivenel soit renvoyé aux calendes grecques.
La vie associative : un lien culturel et social
L’offre culturelle compiégnoise, qualitative et diversifiée, attire un large public mais des médiations sont nécessaires pour accompagner la partie de la population qui ne se sent pas concernée, voire exclue de ces propositions. Par ces relais, les associations préservent l’équilibre social.
Aussi, nous avons regretté, au dernier conseil municipal portant sur le budget de la ville, la baisse des subventions aux associations culturelles depuis 2 ans (- 10 puis - 5 %). Pourtant ces aides sont nécessaires pour démultiplier les effets et renforcer l’efficacité de certains dispositifs : Contrat Ville, plate forme de réussite éducative, CLEA (Contrat Local d’Education Artistique), TAP ( nouveaux rythmes scolaires) financés par l’Etat mais longtemps boudés par la municipalité. Nous ne nions pas les efforts faits en direction du monde associatif mais cela aurait du sens de les confirmer.
De nombreuses associations compiégnoises se sont mobilisées pour donner une dimension culturelle aux temps périscolaires. L’expérience des CLEA permet d’affirmer que les rencontres avec des artistes constituent un événement culturel dont chaque enfant devrait bénéficier au moins une fois dans sa scolarité pour ne jamais perdre le goût de la découverte et du dialogue.
« Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude » Albert CAMUS
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Mars 2016 / Débat d’Orientation Budgétaire 2016 : Le choix de l’obligé
S’il y a quelque chose qui a changé dans le Débat d’Orientation Budgétaire c’est sa présentation. Et ça serait presque un paradoxe que la loi NOTRe qui oblige désormais a davantage de transparence amène à moins de débat.
Jusqu’alors le Débat d’Orientation Budgétaire, c’était essentiellement pour la minorité faire remonter les indicateurs pertinents escamotés par la majorité et porter une information exhaustive sur la situation financière de la Ville. Aujourd’hui tout y est ou presque. On a donc gagné en temps et en bonne foi. Tant mieux.
On découvre notamment le désendettement engagé de la Ville, malheureusement expliqué par la chute libre de l’investissement, elle-même due à une capacité d’emprunt en baisse. Nous soulignons depuis des années (avec la Cour des comptes) l’absence d’épargne nette qui grève l’avenir.
L’avenir c’est désormais maintenant avec un investissement divisé par 2 par rapport à 2007. L’exécutif ne le conteste pas (ou plus), pas plus que la capacité d’autofinancement négative, pardon, en rétablissement…
Alors faute avouée (sous la contrainte), faute à moitié pardonnée ?
Nous n’avons pas le pouvoir d’absolution. Et pour la moitié qui reste, il faudra demander aux Compiégnois qui pourront désormais consulter les finances de la Ville sur internet comme la loi NOTRe l’impose.
L’honnêteté nous oblige aussi, et ensemble, à reconnaître la faiblesse des marges de manœuvres budgétaire. Elles sont patentes autant que les hausses d’impôt sont attendues.
Pourtant, en regardant les chiffres, il y a une chose que Monsieur Le Maire aurait pu ne pas faire : baisser de 5% les aides aux associations. 15 000 €, c’est-à-dire 0,03 % du budget de la Ville. Comme dit la chanson, « un détail pour vous mais pour eux beaucoup ». Mais ça a été fait. Et ça a été fait pour des raisons politiques, pas économiques. Peut-être pour emboîter le pas de Monsieur COURTIAL (subventions divisées de moitié au Conseil Départemental) et ne pas être en reste. On pouvait ne pas le faire, mais ça a été fait. Parce que s’il y a bien une chose dont Monsieur Le Maire ne peut pas s’empêcher, c’est de faire de la politique.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Jusqu’alors le Débat d’Orientation Budgétaire, c’était essentiellement pour la minorité faire remonter les indicateurs pertinents escamotés par la majorité et porter une information exhaustive sur la situation financière de la Ville. Aujourd’hui tout y est ou presque. On a donc gagné en temps et en bonne foi. Tant mieux.
On découvre notamment le désendettement engagé de la Ville, malheureusement expliqué par la chute libre de l’investissement, elle-même due à une capacité d’emprunt en baisse. Nous soulignons depuis des années (avec la Cour des comptes) l’absence d’épargne nette qui grève l’avenir.
L’avenir c’est désormais maintenant avec un investissement divisé par 2 par rapport à 2007. L’exécutif ne le conteste pas (ou plus), pas plus que la capacité d’autofinancement négative, pardon, en rétablissement…
Alors faute avouée (sous la contrainte), faute à moitié pardonnée ?
Nous n’avons pas le pouvoir d’absolution. Et pour la moitié qui reste, il faudra demander aux Compiégnois qui pourront désormais consulter les finances de la Ville sur internet comme la loi NOTRe l’impose.
L’honnêteté nous oblige aussi, et ensemble, à reconnaître la faiblesse des marges de manœuvres budgétaire. Elles sont patentes autant que les hausses d’impôt sont attendues.
Pourtant, en regardant les chiffres, il y a une chose que Monsieur Le Maire aurait pu ne pas faire : baisser de 5% les aides aux associations. 15 000 €, c’est-à-dire 0,03 % du budget de la Ville. Comme dit la chanson, « un détail pour vous mais pour eux beaucoup ». Mais ça a été fait. Et ça a été fait pour des raisons politiques, pas économiques. Peut-être pour emboîter le pas de Monsieur COURTIAL (subventions divisées de moitié au Conseil Départemental) et ne pas être en reste. On pouvait ne pas le faire, mais ça a été fait. Parce que s’il y a bien une chose dont Monsieur Le Maire ne peut pas s’empêcher, c’est de faire de la politique.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Février 2016 / Mobilisés pour l’emploi !
L’emploi est la principale attente des Français.
Le Président de la République avait promis en 2012 une réelle mobilisation pour l’emploi des jeunes. Les 200 000 emplois d’avenir et les 150 000 jeunes coachés via le nouveau dispositif « Garantie Jeunes » sont des réalités que l’on peut apprécier.
Le dispositif « Garantie Jeunes » s’adresse aux jeunes ayant peu ou pas de ressources. Ce dispositif animé par les missions locales grâce à l’Etat, l’Europe et ses partenaires permet une phase très intensive de mobilisation vers l’emploi : 30 jours de « coaching » en collectif et en individuel, puis un objectif de 120 jours de périodes en entreprise qui facilitent les opportunités de conclure un contrat de travail. En échange de cette forte implication (cf. assiduité et démarches), les jeunes perçoivent une allocation équivalente au RSA. Ce principe du donnant-donnant est très bénéfique.
La région dirigée par la Gauche et Claude Gewerc avait mis en œuvre de nombreuses actions pour rendre notre territoire dynamique dans le domaine de l’économie. Sur Compiègne, les partenariats avec l’UTC ont été utiles et devront se poursuivre avec la nouvelle majorité.
Il est positif que cette nouvelle équipe régionale indique vouloir consacrer beaucoup d’énergie pour l’emploi.
Nous devrons être vigilants, car la cohérence et l’efficacité doivent être au rendez-vous. L’initiative « Proch’Emploi » ne doit pas créer une nouvelle structure d’insertion qui embrouillerait l’esprit des demandeurs d’emploi, ou déstabiliserait la dynamique de partenariats entre les opérateurs du service public (missions locales, Pôle Emploi, …). Il est aujourd’hui crucial de créer des passerelles entre les demandeurs d’emploi et les entreprises. Chaque entreprise ayant des difficultés à recruter devrait pouvoir embaucher des salariés que la Région et l’Etat formeraient avant le démarrage du contrat ou pendant. L’Etat avec le plan « 500 000 formations » et la Région Nord-Pas-de-Calais-Picardie doivent mettre les bouchées doubles, et nous devons les encourager !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Le Président de la République avait promis en 2012 une réelle mobilisation pour l’emploi des jeunes. Les 200 000 emplois d’avenir et les 150 000 jeunes coachés via le nouveau dispositif « Garantie Jeunes » sont des réalités que l’on peut apprécier.
Le dispositif « Garantie Jeunes » s’adresse aux jeunes ayant peu ou pas de ressources. Ce dispositif animé par les missions locales grâce à l’Etat, l’Europe et ses partenaires permet une phase très intensive de mobilisation vers l’emploi : 30 jours de « coaching » en collectif et en individuel, puis un objectif de 120 jours de périodes en entreprise qui facilitent les opportunités de conclure un contrat de travail. En échange de cette forte implication (cf. assiduité et démarches), les jeunes perçoivent une allocation équivalente au RSA. Ce principe du donnant-donnant est très bénéfique.
La région dirigée par la Gauche et Claude Gewerc avait mis en œuvre de nombreuses actions pour rendre notre territoire dynamique dans le domaine de l’économie. Sur Compiègne, les partenariats avec l’UTC ont été utiles et devront se poursuivre avec la nouvelle majorité.
Il est positif que cette nouvelle équipe régionale indique vouloir consacrer beaucoup d’énergie pour l’emploi.
Nous devrons être vigilants, car la cohérence et l’efficacité doivent être au rendez-vous. L’initiative « Proch’Emploi » ne doit pas créer une nouvelle structure d’insertion qui embrouillerait l’esprit des demandeurs d’emploi, ou déstabiliserait la dynamique de partenariats entre les opérateurs du service public (missions locales, Pôle Emploi, …). Il est aujourd’hui crucial de créer des passerelles entre les demandeurs d’emploi et les entreprises. Chaque entreprise ayant des difficultés à recruter devrait pouvoir embaucher des salariés que la Région et l’Etat formeraient avant le démarrage du contrat ou pendant. L’Etat avec le plan « 500 000 formations » et la Région Nord-Pas-de-Calais-Picardie doivent mettre les bouchées doubles, et nous devons les encourager !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Janvier 2016 / Pour une belle année 2016 !
Notre fin d’année a été terrible. Nous avons connu l’horreur, le désarroi, et la tristesse en apprenant les odieux attentats que vous connaissez.
Les victimes de la folie humaine nous marquent indéfectiblement : elles étaient la jeunesse, la vie, la fête, la culture, la France et la République.
Les Compiégnois ont été meurtris par ces événements. Ils ont fortement témoigné de leur solidarité et de leur refus de voir, un jour, gagner l’impensable et l’effroyable.
Nous pouvons être fiers de choisir, en toute circonstance, l’Union Nationale et les réflexes démocrates et républicains. Nous l’avons prouvé, lors des élections régionales, en nous retirant avec dignité et lucidité, pour le deuxième tour Ce choix républicain n’a pas été vain. Et si nous n’avons plus d’élus de gauche à la Région pour témoigner, s’indigner, résister, proposer et construire… nous espérons pouvoir faire entendre notre voix et retrouver le chemin qui nous permette de porter nos valeurs dans la société.
L’heure est au sens des responsabilités. L’heure est aussi à la décence dans nos propos pour empêcher les idées extrêmes d’avoir plus de place. Notre pays ne mérite pas la haine. Le patriotisme du XXIème siècle doit être un gage pour la Paix.
Gageons que la peur, l’inquiétude ne conduisent pas systématiquement au rejet de l’autre.
Erigeons la culture et l’éducation comme remparts à tous les obscurantismes et tous les extrémismes. Il faut y consacrer des moyens humains et financiers qui permettent de dynamiser des politiques ambitieuses, formatrices, en particulier en direction des jeunes.
Gageons que la nouvelle année soit pour toutes et tous plus paisible et que chacun de nous puisse vivre des moments de joie nombreux et intenses.
Le Groupe « Compiègne Gagnante » vous souhaite une bonne année 2016 !
Nous avons une pensée toute particulière pour celles et ceux qui n’ont pas la chance d’être sereins face aux difficultés. N’oublions jamais nos voisins. N’oublions jamais les plus fragiles. Et soyons solidaires à chaque instant !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Les victimes de la folie humaine nous marquent indéfectiblement : elles étaient la jeunesse, la vie, la fête, la culture, la France et la République.
Les Compiégnois ont été meurtris par ces événements. Ils ont fortement témoigné de leur solidarité et de leur refus de voir, un jour, gagner l’impensable et l’effroyable.
Nous pouvons être fiers de choisir, en toute circonstance, l’Union Nationale et les réflexes démocrates et républicains. Nous l’avons prouvé, lors des élections régionales, en nous retirant avec dignité et lucidité, pour le deuxième tour Ce choix républicain n’a pas été vain. Et si nous n’avons plus d’élus de gauche à la Région pour témoigner, s’indigner, résister, proposer et construire… nous espérons pouvoir faire entendre notre voix et retrouver le chemin qui nous permette de porter nos valeurs dans la société.
L’heure est au sens des responsabilités. L’heure est aussi à la décence dans nos propos pour empêcher les idées extrêmes d’avoir plus de place. Notre pays ne mérite pas la haine. Le patriotisme du XXIème siècle doit être un gage pour la Paix.
Gageons que la peur, l’inquiétude ne conduisent pas systématiquement au rejet de l’autre.
Erigeons la culture et l’éducation comme remparts à tous les obscurantismes et tous les extrémismes. Il faut y consacrer des moyens humains et financiers qui permettent de dynamiser des politiques ambitieuses, formatrices, en particulier en direction des jeunes.
Gageons que la nouvelle année soit pour toutes et tous plus paisible et que chacun de nous puisse vivre des moments de joie nombreux et intenses.
Le Groupe « Compiègne Gagnante » vous souhaite une bonne année 2016 !
Nous avons une pensée toute particulière pour celles et ceux qui n’ont pas la chance d’être sereins face aux difficultés. N’oublions jamais nos voisins. N’oublions jamais les plus fragiles. Et soyons solidaires à chaque instant !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Décembre 2015 / Reconversion du site Continental : des citoyens en haut de la friche
Après la fermeture de l’usine en 2009, le projet de reprise en écopôle par la société SITA ajoutait la désolation environnementale au drame social : 460 000 tonnes de déchets traités à ciel ouvert en cœur d’agglomération et en zone inondable. C’était compter sans la mobilisation de 500 manifestants, de 5000 signataires et de 2 associations pour bousculer les élus, infléchir l’enquête publique et faire plier le repreneur.
Un voisin vigilant pas très regardant
Plutôt que Sivens ou Notre-Dame-des-landes, personne ne s’étant enchaîné au château d’eau de l’usine, la comparaison utile reste la centrale à gaz de Verberie.
Même opacité sur les impacts, même arnaque à l’emploi, même greenwashing, même pugnacité des habitants et même déroute d’opérations soutenues par Philippe MARINI : soutien en voisin et ami du Maire de l’époque pour Verberie, en maître d’ouvrage comme Président de l’ARC et du SMVO à Clairoix.
SMVO : n’en jetez plus !
Pour notre Maire l’affaire était simple : une montagne de déchets qui entre d’un côté, des matières premières qui sortent de l’autre. Rentabiliser le cycle collecte/incinération et faire de l’or avec du plomb. Même si le SMVO pavoise avec 2,8 % de réduction de collecte en 6 ans, on commence à comprendre qu’il soit si loin de l’objectif des 7% du Grenelle !
En renonçant à réviser sa copie, SITA a montré qu’un coût de traitement sécurisé des déchets de déchets (mâchefers) était difficilement supportable. Obligeant à repenser la filière pour réduire à la source, trier davantage et baisser la facture.
La méthode avant les discours
Après la mobilisation, les citoyens se sont fait force de proposition. D’abord en se déplaçant sur des friches reconverties comme Chausson à Montataire (1100 emplois aujourd’hui) puis en ouvrant une contre-enquête publique. Et de fait, ils se sont rendus incontournables dans les négociations entre Continental et l’ARC et ont déjà gagné la cession du site par lots, préalable à une pluriactivité (industrielle, artisanale, tertiaire…) et à une reconversion réussie. On dit Bravo !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Un voisin vigilant pas très regardant
Plutôt que Sivens ou Notre-Dame-des-landes, personne ne s’étant enchaîné au château d’eau de l’usine, la comparaison utile reste la centrale à gaz de Verberie.
Même opacité sur les impacts, même arnaque à l’emploi, même greenwashing, même pugnacité des habitants et même déroute d’opérations soutenues par Philippe MARINI : soutien en voisin et ami du Maire de l’époque pour Verberie, en maître d’ouvrage comme Président de l’ARC et du SMVO à Clairoix.
SMVO : n’en jetez plus !
Pour notre Maire l’affaire était simple : une montagne de déchets qui entre d’un côté, des matières premières qui sortent de l’autre. Rentabiliser le cycle collecte/incinération et faire de l’or avec du plomb. Même si le SMVO pavoise avec 2,8 % de réduction de collecte en 6 ans, on commence à comprendre qu’il soit si loin de l’objectif des 7% du Grenelle !
En renonçant à réviser sa copie, SITA a montré qu’un coût de traitement sécurisé des déchets de déchets (mâchefers) était difficilement supportable. Obligeant à repenser la filière pour réduire à la source, trier davantage et baisser la facture.
La méthode avant les discours
Après la mobilisation, les citoyens se sont fait force de proposition. D’abord en se déplaçant sur des friches reconverties comme Chausson à Montataire (1100 emplois aujourd’hui) puis en ouvrant une contre-enquête publique. Et de fait, ils se sont rendus incontournables dans les négociations entre Continental et l’ARC et ont déjà gagné la cession du site par lots, préalable à une pluriactivité (industrielle, artisanale, tertiaire…) et à une reconversion réussie. On dit Bravo !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Attentats
L'horreur nous révolte. Toute la tristesse qui nous anime doit être suivie de toute notre force. Pour la Paix, pour nos valeurs.
Richard VALENTE
Parti Socialiste Compiègne
Tribune - Novembre 2015 / Solidarité pour les réfugiés
Tout récemment, des Compiégnois, place de l’Hôtel de ville, ont eu le réflexe de porter un message d’espoir pour l’humanité toute entière, en choisissant des propos simples : « Nous devons accueillir les réfugiés. »
Accueillir les réfugiés, c’est d’abord un devoir. Le droit international fixe des règles claires de protection des hommes, des femmes et des enfants qui sont victimes de la barbarie.
Notre devoir de citoyen nous oblige à refuser l’égoïsme et à ne pas oublier l’Histoire - celle qui ne glorifie pas les hommes - pour ne pas refaire les mêmes erreurs. A Compiègne, nous savons ce que l’histoire nous a laissé comme traces indélébiles.
La France doit se souvenir de ce qui a fait d’elle une terre d’asile pour les opprimés, pour les victimes de l’ignominie et de la barbarie.
Aujourd’hui encore, face à l’horreur, nous devons soutenir ces populations en détresse.
Accueillir des réfugiés, c’est bien-sûr accueillir des réfugiés de toutes confessions. C’est une question de valeur. C’est aussi le refus de toutes les dérives égoïstes qui mènent aux tensions désastreuses.
Nous, Européens, avons l’immense responsabilité de montrer à ces peuples en détresse que nous nous tenons debout face à l’oppression et au terrorisme. Prouvons que notre pays, que nos villes sont toujours des terres d’accueil.
Nous souhaitons que Compiègne et l’ARC participent à cet élan de générosité et manifestent leur solidarité envers ces populations en répondant à l’accueil des villes solidaires pour l’accueil des réfugiés. Des associations compiégnoises, des particuliers se mobilisent pour dire qu’ils sont prêts à les héberger, les aider, les accompagner au quotidien pour favoriser leur intégration, pour franchir les barrières de la langue…. Et c’est à la Ville de fédérer et de canaliser les bonnes volontés.
C’est à un devoir d’humanité que nous sommes confrontés.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Accueillir les réfugiés, c’est d’abord un devoir. Le droit international fixe des règles claires de protection des hommes, des femmes et des enfants qui sont victimes de la barbarie.
Notre devoir de citoyen nous oblige à refuser l’égoïsme et à ne pas oublier l’Histoire - celle qui ne glorifie pas les hommes - pour ne pas refaire les mêmes erreurs. A Compiègne, nous savons ce que l’histoire nous a laissé comme traces indélébiles.
La France doit se souvenir de ce qui a fait d’elle une terre d’asile pour les opprimés, pour les victimes de l’ignominie et de la barbarie.
Aujourd’hui encore, face à l’horreur, nous devons soutenir ces populations en détresse.
Accueillir des réfugiés, c’est bien-sûr accueillir des réfugiés de toutes confessions. C’est une question de valeur. C’est aussi le refus de toutes les dérives égoïstes qui mènent aux tensions désastreuses.
Nous, Européens, avons l’immense responsabilité de montrer à ces peuples en détresse que nous nous tenons debout face à l’oppression et au terrorisme. Prouvons que notre pays, que nos villes sont toujours des terres d’accueil.
Nous souhaitons que Compiègne et l’ARC participent à cet élan de générosité et manifestent leur solidarité envers ces populations en répondant à l’accueil des villes solidaires pour l’accueil des réfugiés. Des associations compiégnoises, des particuliers se mobilisent pour dire qu’ils sont prêts à les héberger, les aider, les accompagner au quotidien pour favoriser leur intégration, pour franchir les barrières de la langue…. Et c’est à la Ville de fédérer et de canaliser les bonnes volontés.
C’est à un devoir d’humanité que nous sommes confrontés.
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Octobre 2015 / Un automne citoyen
Un automne citoyen
L’automne est l’occasion de toutes les nouvelles implications !
Le Groupe « Compiègne Gagnante » a toujours vanté les mérites d’un engagement impliquant une démarche citoyenne. ; les associations constituant un terrain privilégié. A Compiègne, ce tissu associatif est très riche, très vivant et remarquable par sa diversité.
Cependant, force est de constater que les taux d’abstention aux élections sont à chaque fois trop importants.
Alors … Si l’on rêvait un instant d’une mobilisation sans faille pour réconcilier les électeurs, la politique et la vie de la cité ?
Les enjeux ne manquent pas … Il n’est pas trop tard pour éviter les extrêmes, et les victoires de partis qui ne se contentent que de vouloir créer un climat de tensions et ne proposent jamais de solutions favorables pour toutes et tous.
Ne soyons pas naïfs. Lutter contre les extrêmes, c’est ne pas penser qu’il existe des sujets tabous mais jouer la carte de la proximité, et du sérieux.
A l’échelle locale, nous avons clairement choisi l’union des forces de progrès pour combattre les extrêmes dangereux. Le tandem PS – Europe-Ecologie-Les Verts est force de propositions et défend avec vigueur les idées liées au mieux-être et à l’écologie.
Soyons optimistes ! L’éveil citoyen n’a pas d’âge.
Aussi, gageons que les projets d’enseignement moral et civique, de la maternelle au lycée, visant « une appropriation libre et éclairée des principes qui fondent la République et la démocratie », contribueront à favoriser les réflexes humanistes que nous sommes tous en droit d’attendre.
Ce nouvel enseignement a pour objectif la transmission d’un socle de valeurs communes : la dignité, la liberté, l’égalité entre les femmes et les hommes, la solidarité, la laïcité … Il est aussi fondé sur une école bienveillante et exigeante qui favorise l’estime de soi, le développement du sens moral et de l’esprit critique.
Et puis, dialoguons et construisons l’alternance si utile à Compiègne.
Poursuivons le dialogue sur le terrain, ou sur notre forum citoyen www.Compiegne-Gagnante.net !
A très bientôt !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
L’automne est l’occasion de toutes les nouvelles implications !
Le Groupe « Compiègne Gagnante » a toujours vanté les mérites d’un engagement impliquant une démarche citoyenne. ; les associations constituant un terrain privilégié. A Compiègne, ce tissu associatif est très riche, très vivant et remarquable par sa diversité.
Cependant, force est de constater que les taux d’abstention aux élections sont à chaque fois trop importants.
Alors … Si l’on rêvait un instant d’une mobilisation sans faille pour réconcilier les électeurs, la politique et la vie de la cité ?
Les enjeux ne manquent pas … Il n’est pas trop tard pour éviter les extrêmes, et les victoires de partis qui ne se contentent que de vouloir créer un climat de tensions et ne proposent jamais de solutions favorables pour toutes et tous.
Ne soyons pas naïfs. Lutter contre les extrêmes, c’est ne pas penser qu’il existe des sujets tabous mais jouer la carte de la proximité, et du sérieux.
A l’échelle locale, nous avons clairement choisi l’union des forces de progrès pour combattre les extrêmes dangereux. Le tandem PS – Europe-Ecologie-Les Verts est force de propositions et défend avec vigueur les idées liées au mieux-être et à l’écologie.
Soyons optimistes ! L’éveil citoyen n’a pas d’âge.
Aussi, gageons que les projets d’enseignement moral et civique, de la maternelle au lycée, visant « une appropriation libre et éclairée des principes qui fondent la République et la démocratie », contribueront à favoriser les réflexes humanistes que nous sommes tous en droit d’attendre.
Ce nouvel enseignement a pour objectif la transmission d’un socle de valeurs communes : la dignité, la liberté, l’égalité entre les femmes et les hommes, la solidarité, la laïcité … Il est aussi fondé sur une école bienveillante et exigeante qui favorise l’estime de soi, le développement du sens moral et de l’esprit critique.
Et puis, dialoguons et construisons l’alternance si utile à Compiègne.
Poursuivons le dialogue sur le terrain, ou sur notre forum citoyen www.Compiegne-Gagnante.net !
A très bientôt !
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Tribune - Septembre 2015 / Veni vidi Vinci ou les égarements du stationnement
Le 1ier juillet les tarifs des parkings gérés par le groupe Vinci ont évolué pour une facturation au quart d’heure. Cependant, dans la transaction avec l’opérateur, le consommateur cherche encore sa place.
Hijacking d’une loi sur le stationnement gênante
C’est la loi sur la consommation, dite loi « Hamon », qui impose cette petite Révolution : ne payer que pour un service rendu et prévenir les reliquats de « vente forcée ». Evidemment dans son esprit, cette loi s’attaque à la part indue du chiffre d’affaire du groupe, dans l’intérêt et l’équité dus au consommateur. Mais c’était compter sans la complaisance et la complicité de la Majorité.
Le bon créneau pour l’opérateur, les dérapages pour l’automobiliste
En effet, une révision des grilles tarifaires, même en créant de nouvelles tranches horaires, cela reste toujours une opportunité pour « optimiser ». Ainsi, l’usager devient par exemple lourdement perdant dès la 46 ième minute au parking Centre en déboursant 30 centimes de plus qu’auparavant (de 1,10€ à 1,40€) même s’il devient généralement gagnant la première demi-heure. Mais dans les faits, qui dans un équipement souterrain gare son véhicule moins de 30 minutes?
La Ville en double file
On savait la Majorité parfois prompte à la franche facétie. Mais en nous précisant rechercher des grilles avantageuses « sans pour autant diminuer le coût du stationnement et les recettes annuelles », on la découvre aussi pince-sans-rire. Car ne nous y trompons pas, les conventions passées entre la municipalité et le délégataire garantissent la rentabilité de l’opérateur mais aussi des redevances perçues par la Ville. On appelle ça du gagnant-gagnant. Et le service-public là-dedans ? Le public saura maintenant qu’il est au service de l’exécution des contrats passés avec le délégataire, point barre. Chacun son métier et les autos seront bien garées…
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes
Hijacking d’une loi sur le stationnement gênante
C’est la loi sur la consommation, dite loi « Hamon », qui impose cette petite Révolution : ne payer que pour un service rendu et prévenir les reliquats de « vente forcée ». Evidemment dans son esprit, cette loi s’attaque à la part indue du chiffre d’affaire du groupe, dans l’intérêt et l’équité dus au consommateur. Mais c’était compter sans la complaisance et la complicité de la Majorité.
Le bon créneau pour l’opérateur, les dérapages pour l’automobiliste
En effet, une révision des grilles tarifaires, même en créant de nouvelles tranches horaires, cela reste toujours une opportunité pour « optimiser ». Ainsi, l’usager devient par exemple lourdement perdant dès la 46 ième minute au parking Centre en déboursant 30 centimes de plus qu’auparavant (de 1,10€ à 1,40€) même s’il devient généralement gagnant la première demi-heure. Mais dans les faits, qui dans un équipement souterrain gare son véhicule moins de 30 minutes?
La Ville en double file
On savait la Majorité parfois prompte à la franche facétie. Mais en nous précisant rechercher des grilles avantageuses « sans pour autant diminuer le coût du stationnement et les recettes annuelles », on la découvre aussi pince-sans-rire. Car ne nous y trompons pas, les conventions passées entre la municipalité et le délégataire garantissent la rentabilité de l’opérateur mais aussi des redevances perçues par la Ville. On appelle ça du gagnant-gagnant. Et le service-public là-dedans ? Le public saura maintenant qu’il est au service de l’exécution des contrats passés avec le délégataire, point barre. Chacun son métier et les autos seront bien garées…
Richard VALENTE, Solange DUMAY, Frédéric PYSSON - Conseillers municipaux socialistes et écologistes